par Nimil » 28/03/14 07:51
Salut,
Ça fait un moment que je n'ai pas écris, mais c'est pas étonnant avec tout ce qu'il se passe dans la région. La dernière fois que j'ai écris, on était à Cranyor et j'avais fait mon combat avec Eähndil ; magnifique combat d'ailleurs. Depuis on a eu des attaques à Xériène, à Raaur, à Pycalmar... Par la suite, il y a eu ce Satyre bizarre et Farder qui a disparu, bref, la grosse embrouille. Et maintenant ces explosions avec la DOSALB team forever, dans la joie et la bonne humeur ! Et Lohvina qui tiens plus debout. C'est la grosse éclate, vraiment ! Dans les points positifs, il y a quand même cette petite perle ; j'ai hâte de pouvoir faire des recherches. Mais j'ai d'autres choses à penser, je dois m'occuper d'avertir les villages ; alors que quelque part sur le continent, mes amis Fardens sont peut-être en train de se faire tuer pas les Trois. La guerre, qu'elle bêtise humaine ! À mon avis, beaucoup de personne de la population pensent que les chers soldats Fardens n'éprouvent aucune pitié à tuer et qu'ils sont parfaitement à l'aise avec cette pensée ; mais chaque fois que je vois une goutte de sang, des flashs du jour où mon village à été détruit me reviennent. C'est pas mal la fête dans ma tête... Je me demande parfois comment des gens comme Farder ou comme Nérégmare peuvent vivre, avec sur la conscience, le fait d'avoir tuer des milliers de personnes d'un claquement de doigt. Bref ! Oublions nos chers ténèbres et tournons-nous vers la lumière, on y verra mieux. Souvent Neriel me dit qu'elle n'est pas sûre de pouvoir se rendre sur le champ de bataille parce que la peur la paralyse, mais à chaque fois, elle fait des dégâts dans les rangs ennemis. La confiance, voilà ce qu'il manque à beaucoup d'entre nous ! Mais, je m'égare...revenons aux évènements du jour. Neriel s'inquiète beaucoup pour Lohvina, mais je sais qu'elle est forte et qu'elle s'en sortira toujours. Ma soeur peut être la plus grosse maman poule de la planète des fois ! Ça me fait aussi rire, j'ai vu ça au château l'autre jour, que le nouveau, Agrillaz, soit complêtement paumé. Si tu trouves mon journal un jour, Agrillaz, et que tu lis ça, fais-moi le plaisir d'aller engueuler le commandant, qu'il s'occupe un peu de toi ! Je suis maintenant en train d'arriver à un village. À plus !