Kyriéthétöss

Le Kyriéthétöss

Les Haïthig

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Les six machins


L'âme

L’âme, est semblable au cerveau reptilien (partie commune du cerveau que tous les êtres vivants intelligent ont). Elle gère les inconscients du corps. Par exemple la respiration : elle se fait automatiquement ; on a pas besoin d’y penser pour respirer. (Elle est propre au corps.)

L'esprit

L’esprit peut être comparé à la partie du cerveau que l’on nomme néo-cortex (partie du cerveau qui fait l’intelligence). C’est tout simplement ce qui nous sert à réfléchir, à penser, à parler, à se mouvoir, etc. (Il se mélange au vif lors du premier cycle chez les Essandhars.)

Le corps

Le corps est l’enveloppe qui contient les six machins. C’est la partie visible d’une personne.

La configuration

La configuration fait le lien entre les six machins. On peut comparer la configuration à un système par étages dans une pyramide. On distingue une première configuration principale sur le premier étage ; et plusieurs autres configurations sur les étages suivants.
Sur le premier étage, on a la configuration propre. Elle lie fortement les éléments propre aux corps, c’est à dire : l’âme, l’esprit, l’aura, le vif, le corps. Sur les autres étages, on a les configurations d’autres personnes qui se lient à nous de façon plus ou moins forte. Plus le lien est fort, plus la configuration de la personne se trouve sur un étage proche du principal. Il y a par exemple des liens familiaux avec certaines personnes (qui sont forts), des liens amicaux avec d’autres (qui sont moins forts) et ainsi de suite.

L'Aura

Tout d’abord, il faut préciser que les vifs ne supportent pas d’errer ; il leur faut absolument se lier à une configuration (ou être dans un “objet“ capable de contenir un vif). Soit ils sont en nous, soit ils sont contenus dans “l’objet“ (comme par exemple dans une pierre à vif). Un vif errant fera alors tout pour ne pas être isolé. L’aura a justement pour but de nous protéger de ces vifs, et de les empêcher de se lier à nous.
On peut aussi ajouter que l’on peut détecter un vif. Un vif peut être comparé à une lampe dont la lumière est assez forte, une personne normale ne peut pas voir cette lumière, soit le vif en lui-même. Mais les Haïthigs, eux, le peuvent. L’aura sert aussi à atténuer cette lumière, et la rend donc moins perceptible pour les Haïthigs.

Le vif

Le vif est une sorte de code barre qui permet d’identifier une personne et de voir quelles “permissions“ lui sont ou non accordées. Seuls les Haïthigs sont conscients d’avoir un vif. Tous les vifs ont la capacité de communiquer entre eux. Grace à cela, ils peuvent tout savoir et transmettre les informations aux Naudhars. Les Haïthigs peuvent demander ces informations aux Naudhars en fonction de leurs permissions. Ainsi, en fonction de leur cycle, ils peuvent avoir toutes les connaissances de l’univers. Les vifs Haïthigs reçoivent de plus en plus de permissions au fil de leurs cycles. Ces permissions sont données selon un programme préétabli que les Haïthigs mieux gradés peuvent modifier. Si on a fait cette liaison, on peut augmenter ou ralentir la vitesse d’avancement dans le programme, on peut arrêter de donner les permissions, et donc arrêter le programme, ou encore, on peut donner des permissions spécifiques.




Les Essendhars

Les Essendhars sont un type de Haïthig. Ils fonctionnent selon un système de cycle. Ce cycle dure de l’âge de onze ans à trente ans. C’est un Essandhar de deuxième cycle qui va “donner naissance“ à un nouveau Essendhar. C’est lors de ce premier cycle que le vif Essendhar se mélange à l’esprit et à l’âme de la personne en question. Plus les cycles passent, plus les Essendhars ont de permissions.




Le language

Les Haïthigs communiquent par plusieurs procédés, dont un qui est une sorte de parole. Ce langage est créé en associant différents atomes qui servent de mots (comme dans un code). Un même groupe d’atomes peut vouloir dire plusieurs choses différentes. Les messages sont donc des suites d’atomes transmis dans les ondes faites par son.
Les sons permettront également de définir des humeurs ou des intonations spécifiques, qui ne pourrait pas être transmise par le message sous forme d'atomes.




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