Champs

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Messagepar Farder » 14/01/14 12:27

Voilà la saison de travailler sur les champs. Les Fardens blessés peuvent aller aider les paysans. Les paysans sont très contents que vous les aidiez donc ils vous payent 5 pc/h.
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Re: Champs

Messagepar Nérègmare » 14/01/14 12:31

J'ai décidé de me faire un peu de sous. Je vais donc voir les fermiers qui travaillent dans les champs environnants et je leur propose mon aide. Ils ont l'air un peu craintif, sûrement parce que je suis un Fraten. Je commence donc par ramasser les pommes de terre qui vont nous servir plus tard de casse-croûte. Je reste dans les champs en compagnie de ces charmants fermiers et sous un radieux soleil. Ainsi, je ramasse ces pommes de terres et je dois ensuite retourner la terre dans un autre champ, ce qui est un peu plus fatiguant. Je suis tellement fatigué que j'ai l'impression que j'ai combattu toute la journée des Fratzes alors que là, je ne bêche que depuis 1/2 heures.

**Ils sont vraiment plus forts que nous, ces fermiers.**

Après avoir raclé le sol pendant une heure, je dois arroser les champs. C'est maintenant que je regrette de ne pas avoir appris le sort de contrôle des éléments.

**Dès que j'ai fini, je file au château m'acheter ce sort, il pourra sûrement me rendre service une autre fois**

Bref, je fais sans cesse des allers-retours vers le puits pour aller remplir mes arrosoirs. Ce puits me fait penser que nous n'avons toujours pas fini la quête vers le puits de Rallone. Je continue donc avec un mouvement répétitif à remonter mes sauts d'eau, à transvaser l'eau dans les arrosoirs et à aller arroser ces champs. Je désespère en voyant s'étendre devant moi des champs à perte de vue.

**Hé ben, il fait tellement chaud que j'ai l'impression que l'eau s'évapore avant de toucher le sol !**

/Tu vas y arrivé Nérèg, tiens bon !/
#-T'es là toi, je t'avais oublié. Tu parles tellement souvent que j'ai cru que t'étais mort.#
/Arrête, fais pas ton Scopule./
#-C'est ça oui, maintenant c'est moi le méchant. Je sais que je suis fils de Fratzes, mais je les déteste tout au tant que toi.#

Je continue de travailler pendant que Klagarge se "réveille". Les fermiers me disent qu'après avoir fini ce champs, je pourrais faire un pause.

**Enfin**

Après avoir fini ce champ, je prend une pause bien méritée. Après cette "longue" pause de cinq minutes, je dois aller couper le blé. Alors là, je n'est pas hésité une seconde et j'ai sorti mon épée et ce fut vraiment plus rapide.

/Hé, c'est de la triche, ils n'ont pas d'objets aussi coupants, eux !/
#-Et alors ??! Au contraire, dans la vie, si l'on fait comme tout le monde, on ne peut gagner. Il faut toujours garder sa spécialité.#
/Bon d'accord, j'arrête de t'embêter./

Je finis donc ma journée de travail autour d'une table en train de déguster de la bière de maïs. C'est horriblement plus fort que les vins qu'on nous sert au château. Nous nous racontons des histoire farfelues parce que nous sommes soûls et je reprends la direction du château. Pendant que je marche vers le château, Klagrage, qui s'est bien réveillé, me fait sans arrêt la morale comme quoi je n'aurais pas du boire.
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Re: Champs

Messagepar Eähndil » 14/01/14 12:33

**-Ah, je sors enfin de l'infirmerie, pas trop tôt, je vais pouvoir travailler un peu ici après le bain, histoire de se chauffer avant l'entraînement.**
/- Tu ne serais pas un peu masochiste sur les bords ?/
**-DÉSOLÉ, JE N'ENTENDS PAS CE QUE TU DIS, JE NE VEUX PAS L'ENTENDRE NON PLUS!!!**
/-Je savais que j'allais regretter de lui avoir appris à me crier dessus par la pensée!/
**Héhéhé!**

Après cette "discussion", je me rendis vers un des paysans qui se trouvaient près du cabanon à outil. Il me demanda de commencer par labourer les cinq champs près du mur et du château. Je me mis donc en marche avec les outils nécessaires. Arrivé près du premier champs, je constate de sa taille, disons, surréaliste. Je soupire et, me disant que ça ferait un beau terrain d'entraînement, je me mets donc à labourer. Au début, le travail est long et fastidieux, le manche de la bêche est sec et usé, les échardes se multiplient avec le temps et je dois vite emballer mes mains avec un morceau de tissu pour ne pas saigner. Puis, le temps passant, l'habitude de répéter le même mouvement des dizaines de fois, on prend aisément le coup de main, le travail est moins dur, moins fatigant et avance plus vite. Après avoir labouré le premier champs, je passe au second : celui-ci est rempli de caillasse à n'en plus finir. Le paysan m'avait précisé que c'était une nouvelle parcelle et qu'il fallait encore enlever les pierres afin de rendre la terre plus meuble et donc plus facilement propice à l'agriculture. Je dus donc retourner au cabanon chercher pelle et pioche afin d'extraire cette masse minéral et de pouvoir continuer mon travail. Après une heure passée à enlever les pierres, je reprend enfin ma bêche et continue mon travaille. Enfin, je vois le bout de ce champs. Le paysan de tout à l'heure est donc venu m'apporter une gourde d'eau et un morceau de pain avec une tranche de viande séchée. Nous nous asseyons donc au bord du champs et mangeons notre repas. Ce faisant, nous discutons de choses et d'autres, je lui narre mon histoire et il me raconte la vie que mène chaque paysan dans les champs, nous alternons donc les histoires de batailles aux résultats inespérés des récoltes de l'an dernier par rapport à la moyen annuelle. Après manger, nous retournons donc à nos lopins de terre respectifs, moi pleinement reconnaissant du travail fourni par ces centaines de personnes dans le but de nous nourrir chaque jour et lui, heureux de savoir que sa famille et sa demeure sont bien gardées. Après avoir labouré chaque champs, le soleil ayant passé midi depuis longtemps, je me mets à semer les grains, du blé pour le premier champs, du houblon pour le second et de l’épeautre pour le troisième. Un travail certes moins pénible, mais plus monotone, et on s'en lasse très rapidement. Pour l'arrosage, le même paysan que précédemment et un autre sont gentiment venus me proposer leur aide, nous avons donc fait la chaîne, l'un allant puiser l'eau au puits pendant que le second amène les arrosoirs au champs et le troisième passant entre les rangées de pousses. Nous finîmes très tardivement ce travail et pour les remercier de leur précieuse aide, je les invite à boire un verre à la taverne, ils me firent goûter plusieurs bières et moi plusieurs des vins que l'on nous sert habituellement au château. Nous nous sommes mis d'accord, après maintes dégustations et tests, que la meilleur boisson de la soirée, était la bière de houblon avec du miel et un peu de gingembre. Pour finir, je rentrais au château deux heures après le couvre-feu et dû batailler avec la garde pour pouvoir rentrer. Arrivé dans mes quartiers, je m'effondrais sur mon lit avec le sentiment d'en avoir dégustée une de trop.
Eh, n'empêche, j'ai trouvé vachement classe le coup de hache dans l'oeil qui fait sortir la cervelle par l'oreille! Hahahaha !
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Re: Champs

Messagepar Numendil » 14/01/14 12:36

**-Je m'ennuie un peu, je n'ai plus rien à faire depuis que j'ai aidé à la forge, je vais aller voir ce qu'ils proposent de faire dans les champs.**
/- Tu peux utiliser une araire ? Si c'est le cas, ils vont certainement te demander de labourer des terrains./
**- Ils n'auront pas assez de terrain pour m'occuper toute la journée.**

Prenant la direction des champs, je commençais à me demander à quoi pouvait bien ressembler le travail de paysan et plus j'y pensais, plus je me rendais compte que j'ignorais tout de comment nourrir un royaume, quel manque de considération nous avons envers ceux qui remplissent nos assiettes chaque jour. Je me rendis donc tranquillement au champs avec Silmarien sur mon dos qui dessine des motifs dans mon pelage. Elle doit drôlement bien dessiner, mais parfois cela me chatouille affreusement.


/-Je me demande ce que penserons les paysans quand ils verront une fée sur le dos d'un centaure./
**-Bah, on aura qu'à leur expliquer.**

Arrivé devant les champs, les paysans me regardèrent d'un air étonné, apparemment, ils ne voyaient pas tous les jours un centaure en armes avec les armoiries de l'armée de leur propre royaume. Je me présente donc et leur explique que je suis venu les aider dans les champs avant de commencer mon entraînement pour la bataille qui aura lui dans un futur proche. après maintes explication,( certains ne savaient même pas que les centaures existaient!) Ils m'acceptèrent et me chargèrent, non pas de labourer les champs, mais de sacs de farines. Sacs que je dû amener au four de l'autre côté des champs.Je m'exécutais donc, une charrette avec vingt sacs de farine de froment, quatre sacs de seigles et deux sac de blés, blés qui est plus utilisé pour faire de la bière que du pain puisque le pain blanc se garde moins que les autres. Je dû faire cinq aller-retour pour pouvoir convoyer toute la farine. Ensuite, lorsque je revins aux champs, des sacs de grains cette fois-ci, m'attendaient. Je devais semer l'entier des champs labouré par Eähndil, c'est-à-dire, deux fois le tour du château avec à chaque fois, cinquante mètres de largeur. Autant vous dire que cela faisait une belle quantité de sacs de grains. Je me mis donc au travail, plongeant mes mains dans les sacs suspendus à mes côtés, Silmarien m'aidant en apportant les sacs pour que je n'aie pas à faire plusieurs aller et retour ou en agitant un sacs qu'elle portait en volant au dessus du champs. Après avoir exécuter ces tâches laborieuses, je décline l'invitation des paysans d'aller les rejoindre à la taverne mais leur donne quelques piécettes pour trinquer en mon nom.
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